Une fois n’est pas coutume, voici mon expérience personnelle dans mon travail avec un maître de lumière : Serapis Bey.

Partager avec vous mon travail personnel est pour que cela vous apporte des éclaircissements et des outils dans votre évolution personnelle et votre travail avec les maîtres de lumière. Alors si vous avez des questions, n’hésitez pas à les poser en commentaire ou en envoyant un e-mail à : wanderer@seedofunity.space

Cet article fait suite à l’article de la semaine passée qui vous expliquait comment le principe de confier une partie de sa vie à un maître de lumière permet de demeurer dans l’état d’Observateur Conscient tout en étant incarné avec une belle vie.

Une grande facilité à me connecter aux entités

Une de mes grandes facilités est de me connecter aux entités de lumière. Lorsque j’étais enfant et adolescent, j’essayais souvent de bloquer cette capacité que je ne comprenais pas et qui faisait de moi quelqu’un de bizarre.

Même en devenant maître Reiki à l’âge de 12 ans, je n’ai pas vraiment compris le don incroyable que j’avais à disposition et je continuais à bloquer au maximum la connexion, par peur consciente et inconsciente. Mon esprit était avant tout scientifique et n’arrivait pas à concevoir ce qui se passait en et autour de moi.

Au départ, une grande colère contre le divin

Ce n’est qu’au moment où j’ai véritablement plongé dans le travail spirituel, vers 30 ans, que j’ai ouvert davantage les canaux de connexion avec les entités de lumière.

Peu à peu, je me suis alors rendu compte de la colère que j’avais au fond de moi. Car j’avais l’impression, en m’étant incarné sur cette Terre, d’avoir été abandonné par le divin. Bien sûr, la réalité est que je m’en étais coupé tout seul mais c’était très dur à entendre. Le divin a juste accepté mon choix de m’isoler.

Un équilibre précaire

Trouver l’équilibre entre ma vie, mes entreprises, mon développement personnel et le développement de mes capacités de connexion n’est pas évident.

Mon énergie et mes capacités de matérialisation sont trop fragmentées, m’empêchant de vraiment avancer dans quelque domaine que ce soit. J’ai en particulier de la difficulté à utiliser mes capacités de connexion à leur vraie valeur.

Depuis longtemps, j’ai le sentiment que je pourrais utiliser ces capacités dans tous les domaines de ma vie, mais je n’y parviens pas. Du coup, depuis des années, j’ai l’impression d’avancer au ralenti.

Maintenant : passer le voile

Depuis une vingtaine d’années, je perçois la nécessité pour moi de passer le voile, de changer de réalité pour parvenir à ce que je suis vraiment. Je ne peux expliquer ce que le voile représente exactement, car je ne sais pas ce qui se trouve derrière.

J’ai toujours eu peur et reculé au moment de franchir cette étape de ma vie. Cependant, depuis septembre 2022, j’ai pris la décision irrévocable de franchir ce voile pour de bon.

Contrairement à ce que je pensais, le passage du voile se fait en de nombreuses étapes que je continue à suivre. La symbiose avec un maître de lumière en est une étape importante, je le sens.

J’écrirais prochainement un article sur le passage du voile afin que vous puissiez déterminer s’il s’agit d’une étape que vous voulez ou devez franchir également.

Méditer sur le toit de la voiture de ma vie

Tout a commencé lorsque j’ai pratiqué l’exercice proposé dans l’article de la semaine passée.

Lorsque j’ai visualisé ma voiture, elle n’était pas en très bon état, ni capable d’aller très vite. Le plus étonnant est que je me visualisais sur le toit de la voiture en train d’essayer de méditer tout en tâchant de contrôler au mieux la voiture sans réel chauffeur.

Bien sûr, rien ne fonctionnait réellement, ce qui explique assez bien l’ensemble de ma vie.

Discuter avec Metatron

J’ai pris l’habitude de discuter avec différentes entités, des maîtres de lumière principalement. En fonction des moments, je suis plus en contact avec Melchidédech, Babaji, Lao Tseu…

Contrairement à beaucoup de médiums ou canaux qui travaillent principalement avec un maître de lumière, j’ai toujours aimé contacter un grand nombre de maîtres, de divinités ou d’anges, sans avoir de véritables contact. Ce n’est pas forcément l’idéal, mais cela correspond à mes spécificités.

Depuis quelques semaines, je discute également avec l’archange Métatron, qui m’a d’ailleurs présenté l’exercice de la voiture.

Laisser un maître prendre le volant

Après l’exercice de la voiture, j’étais dans l’expectative :

• Devais-je retourner au volant de ma vie pour mieux la contrôler quitte à perdre la position d’observateur qui médite calmement sur le toit ?
• Ou est-ce qu’il était mieux que je reste sur le toit quitte à laisser la voiture de ma vie finir dans le fossé ?

Métatron m’a alors proposé une solution inédite à laquelle je n’aurais jamais pensé : demander à un maître de lumière de prendre le volant pendant que je reste sur le toit à méditer.

Une solution qui laisse songeur

Sur le moment, cette proposition m’a tellement étonné que je n’y ai pas cru. J’ai pensé que mon mental me jouait des tours.

J’ai dû demander une vingtaine de fois la confirmation à Métatron, heureusement que la patience des archanges est infinie.

En y réfléchissant, l’idée ne paraissait pas si absurde. Elle allait juste à l’encontre de ce que j’avais pu apprendre ou croire au cours des années.

Une approche à contre-courant proposée par un archange, que demander de mieux ?

Trouver le bon maître de lumière

Je m’attendais à ce que Métatron soit l’entité qui prenne le volant, je trouvais ça logique. Mais ce dernier m’a révélé que ce n’était pas possible, qu’il était trop éloigné de l’incarnation pour pouvoir m’aider directement et efficacement.

Il s’agissait donc de trouver l’entité la plus adaptée pour s’installer dans une forme de symbiose avec moi.

J’ai d’abord testé l’ensemble des maîtres et des divinités avec lesquelles j’avais été en contact, sans succès. Je ne trouvais pas d’entité qui me correspondait, pourtant Métatron continuait à me proposer de chercher.

J’ai alors cherché parmi les différents maîtres de lumière les plus connus, même si je ne les avais jamais contacté moi-même. Mon intuition s’est arrêtée sur Serapis Bey.

Un maître que je ne connaissais pas

Même si j’avais lu son nom à plusieurs reprises, je ne connaissais absolument pas Serapis Bey. Je trouvais donc étrange d’être parti pour lier une relation aussi intime avec un maître que je ne connaissais pas, alors qu’il y en a tant dont je me sens proche.

Ayant toute confiance dans les conseils de Métatron, j’ai commencé à me renseigner sur Serapis Bey.

Le Choan du 4ème rayon

Les premières incarnations de Serapis Bey remontent à Atlantis dont il a sauvé une partie des sagesses lors de sa destruction pour l’emmener en Égypte. Ensuite, il s’est ensuite incarné à plusieurs reprises lors de l’antiquité avant d’ascensionner définitivement.

Devenu le responsable, le choan, du 4ème rayon, celui de la lumière de l’ascension, il représente l’amour inconditionnel, l’ascension et la discipline.

En lisant les descriptions de ce maître et de ses spécificités, j’ai tout de suite compris pourquoi Métatron me l’a conseillé : il apporte exactement ce dont j’ai besoin pour avancer, mais ça me met en face de mes peurs.

Une prise de contact tranquille

Comme je n’avais jamais communiqué avec Serapis Bey, j’ai commencé à prendre contact avec lui. Cela m’a été étonnement difficile.

D’habitude, il me suffit de souhaiter rentrer en relation avec une entité pour le faire. J’ai également appris des techniques de canalisation me facilitant le travail.

Contacter Serapis Bey me demande davantage d’énergie, comme si ses vibrations étaient plus éloignées des miennes. Ceci peut paraître logique, vu qu’il représente ce que je devrais atteindre, mais que je ne suis pas encore. Cependant, ceci complique toute mon approche et me demande plus d’attention et donc de discipline, ce qui n’est pas mon point le plus fort 😅.

Apprendre à se faire confiance

Même si Serapis Bey est un maître de lumière, lui confier le volant de la voiture de ma vie demande beaucoup de confiance et de foi. Ces dernières ne coulent pas forcément de source, elles doivent se créer avec le temps et des contacts réguliers.

D’ailleurs cette confiance va dans les deux sens : le maître de lumière connaît notre âme et sait qu’il peut avoir confiance. Cependant, il doit voir si notre ego est capable de lui laisser la place.

Apprendre à lâcher prise

Étant de base très contrôlant, le plus difficile pour moi est de laisser la place à Serapis Bey. Mon mental utilise l’argument du manque de confiance, il se demande ce qui va se passer dans ma vie si je laisse le volant à un maître de lumière. Est-ce que toute ma vie va s’écrouler ?

En réalité, mon mental est paniqué à l’idée de perdre le contrôle qu’il croit avoir sur ma vie.

Un contrôle illusoire, une illusion tenace

Dans le fond, je sais que ce contrôle est illusoire, qu’en réalité seule compte la discipline et la capacité à être en permanence l’observateur conscient de sa vie.

Je sais qu’en laissant les reines à une entité qui en sait beaucoup plus que mon petit ego afin d’avoir tout le temps nécessaire pour évoluer.

Cependant, même en le sachant, il m’est très difficile de passer au-delà de cette illusion. C’est un peu comme dans les films fantastiques où le protagoniste doit marcher dans le vide. Il sait qu’il y a un pont, mais ne le voit pas. Il n’est pas facile de se lancer dans le vide, cela demande une foi absolue.

Difficile d’avoir la foi

Il a toujours été difficile pour moi de lâcher prise. Je n’arrive par exemple pas l’exercice de la confiance où on se laisse partir en arrière, confiant qu’une autre personne va nous rattraper.

Même en ayant toute confiance en Serapis Bey, je n’arrive pas à lâcher les commandes que je ne tiens pourtant pas. Ma voiture avance donc sans conducteur pendant que je me bats contre moi-même afin de choisir dans quelle direction avancer.

Une lumière au fond du tunnel

Le tableau peut sembler bien sombre, avec peu d’espoir de s’en sortir. Pourtant, je conserve la confiance d’y arriver. Peu à peu, ma relation avec Serapis Bey gagne en profondeur. Je lui laisse de plus en plus de place dans ma vie.

Cependant, je sens que dès que je rencontre le moindre stress, j’essaie tout de suite de reprendre le contrôle et d’expliquer à un maître de lumière ce qu’il doit faire 😂.

J’ai l’impression d’avancer plus vite que je ne l’ai jamais fait. En même temps, je suis plus dans l’incertitude et le brouillard que jamais. À voir donc où tout cela me mènera.

Dans les prochaines semaines, je publierai des articles, des audios ou des vidéos qui vous indiqueront comment les choses évoluent entre Serapis Bey et moi et si j’arrive enfin à lâcher prise sur le contrôle.

Amicalement vôtre,

Wanderer