Une émotion à bras le corps – 1ère partie

Nous voilà dans un des aspects les plus important de notre vie dans cette dimension : les émotions et leurs impacts sur tout notre système.

Notre ADN se transforme en fonction des expériences de vie que nous avons, des habitudes mises en place.
Nos cellules gardent en mémoire les traumatismes que nous avons vécu.
Et je pense que, comme beaucoup de monde, vous avez vu l’expérience du riz avec les émotions amour / haine.

Si ce n’est pas le cas, pas d’inquiétude. Nous sommes en train de faire l’expérience que nous vous partagerons dans quelques jours.

Corps

Comme l’a dit Wanderer dans l’article ego, mental, émotionnel, corps et énergie : les outils de notre vie, le corps est ce qui nous permet de vivre les expériences du quotidien.

Sa forme, ses particularités visibles et d’autres plus invisibles, ses besoins et tellement d’autres points encore, le corps est multiple et jamais réellement défini, toujours fluide.

Forme

La base du corps est la même pour tous : deux bras, deux jambes, un tronc (sauf cas à part). Mais le corps peut être grand, petit, rond ou longiligne et des nuances de chacune de ses particularités.

Il grandit : de bébé à enfant, d’enfant à ado, d’ado à jeune adulte, de jeune adulte à adulte, d’adulte à personne âgée.
Il peut porter la vie pour les femmes.
On peut grossir ou maigrir, trouver un poids de forme ou non.

Les possibilités sont pratiquement infinies. Surtout si on commence à parler des symptômes en cas de trouble et de tous les développements que ça peut amener.

Tout ça pour dire 😉 que le corps est changeant et changement, que rien n’est fixe ni fixé.

Et pourtant, à un moment donné – nous lions ça à l’âge plus qu’aux expériences vécues – le corps se rigidifie. Arthrite, arthrose, calcification et j’en passe. La seule chose qui nous amène à cet état – et par lequel on peut en sortir- ce sont … nos pensées.

Nos pensées ?!

Pensées

Les pensées sont reliées à notre cerveau (comme dit ici). En général elles définissent nos actes, nos habitudes, notre vie.

Pour changer notre vie (nos en vie ;-)), il faut donc changer nos pensées.
Voilà, ça c’est dit. Et alors ?

Pour changer nos pensées, il y a plusieurs voies :

  • définir qui on veut incarner/être et se relier à cet archétype
  • avec des phrases affirmatives, mettre en avant les conditions dans lesquelles on souhaite évoluer. Les répéter plusieurs fois par jour avec conviction- qu’on y croit ou non – et finalement incarner ces phrases au quotidien
  • prendre une grande inspiration, visualiser l’énergie qui descend dans le 1er chakra à l’expiration. Une fois calé dans le bassin – zone de paix par excellence – reprendre une inspire et remonter avec l’énergie qu’on souhaite incarner. Par exemple : l’amour, la joie, l’assiduité, le focus, etc.

L’idée est donc de revenir à la source : soi-même. Le souci, c’est que ça reste encore le plus complexe.

Soi

Le retour à soi, qu’est-ce que c’est au fond ?

Qui, ayant fait un peu de développement personnel, n’a jamais entendu qu’il fallait revenir à soi ?

Pour moi, le retour à soi se résume à peu de choses :

  • être centré en soi
  • matérialiser la vie qu’on veut vraiment, les expériences que l’on veut vivre depuis le socle du créateur merveilleux que l’on est avec notre toute puissance
  • juste être

Et pourtant, cela me semble être le programme le plus difficile à incarner.

Le retour à soi, comment faire alors ?

En cela dépend de qui vous êtes, quel type d’AIP et de votre incarnation.

Pour chaque type d’AIP, nous ferons, dans l’abonnement RootOfUnity, un parcours général d’incarnation, une cartographie générale qu’elle pourra adapter, aménager en fonction de ses besoins spécifiques qui seront également abordés dans l’abonnement RootOfUnity.

Vous pourrez trouver, dans cet article, quelques pistes qui, je l’espère, pourront alléger un peu la charge mental qui vous accompagne.

Les pistes du retour à Soi

Ces points seront surtout abordés selon l’angle de vision que j’ai de la vie, peut-être Wanderer en apportera d’autres, ici ou ailleurs.

Le premier point qui me semble le plus important pour revenir à soi : la respiration.

Par le premier souffle de vie, le bébé incarne dans la totalité qu’il est. La dernière chose qui s’en va au moment de la bascule vers une nouvelle dimension, de la mort physique de ce corps : c’est le souffle.

Quand on s’énerve, notre respiration s’accélère voir se bloque. On retrouve le calme en prenant de grandes et amples respirations.

Toujours ce souffle.

Différentes techniques

  • être en conscience : simplement s’asseoir. Fermer les yeux. Poser ses mains sur ses cuisses, paumes tournées vers le ciel. Inspirer, grandir/grossis votre ventre.
    Si vous êtes plus à l’aise, vous pouvez mettre mes mains sur votre ventre et repousser vos mains avec votre ventre.
  • respiration du soulagement : “visser” ses fesses dans le fauteuil, bien sentir son assise. Prenez une grande inspire, aller au maximum de vos capacités et puis expirez d’un coup, dans un soupir soulageant. descendez votre conscience dans votre 1er chakra et remontez avec l’énergie que vous souhaitez vivre (joie, amour, facilité, etc.).
  • la respiration qui me plaît le mieux au matin : kapālabhāti. En sanskrit, kapālabhāti signifie crâne qui brille. Je le comprends dans le sens d’esprit oxygéné. En effet, kapālabhāti est une respiration à trois temps : les 2 premiers sont une expire et une inspire. Après quelques secondes (commencer par 20 secondes) de cet exercice, prenez une inspiration, expirez complétement puis faite une fausse inspire (vous faites comme si vous inspirez de l’air sans prendre d’air, à vide), retenez pendant quelques instants et expirez tranquillement. Vous pouvez recommencer cet exercice plusieurs fois dans la journée.

Dans un prochain article, je vous présenterais d’autres technique pour un retour à soi, à son centre.

Amicalement vôtre,

Bhân


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