Les AIP jouent un rôle important dans le réveil général de l’hypnose orchestrée par le mental et les égrégores qui a lieu sur cette Terre. Ne pouvant pas accepter le consensus général, elles vont se rebeller et vouloir sortir des griffes du mental et de ses milliers de pensées.

Le hic, comme nous l’avons vu, c’est que les AIP sont aussi prises dans l’hypnose générale et l’inconfort que cela leur cause – être ici pour fonctionner différemment tout en étant pris dans le jeu du mental, l’ego et l’émotionnel – draine une bonne partie de leur énergie.

Mais, à un moment donné dans leur parcours, les AIP s’éveillent à leur nature et souhaitent retrouver leur souveraineté divine. La compréhension est un des points essentiels pour permettre l’émergence de notre vraie nature. Il y a un grand nombre d’auteurs-autrices qui ont écrit sur différent sujets permettant d’éclairer différents chemins. Certains de ces auteurs-autrices sont même cités sur ce blog.

Ensuite, vient le temps de l’action, de la mise en mouvement mais d’une manière différente d’avant, une manière qui soit plus intimement lié avec la nature d’une AIP : avec le Wu Wei.

Ce chemin ramenant les AIP à leur souveraineté n’est pas évident et demande beaucoup de ressources, il est plu aisé d’avancer à plusieurs sur ce chemin, d’échanger et de continuer.

Une fois qu’elles ont retrouvé leur souveraineté, elles peuvent accompagne les autres à trouver la leur et sortir de cette trance généralisée. Il s’agit de l’une des raisons de la venue de ses âmes évoluées sur Terre.

Comment une AIP peut aider ses proches à se sortir de l’hypnose ?

Une AIP est dans ce monde, mais pas de ce monde. Cela lui permet de se mettre plus facilement en position meta et observer les autres sans plonger dans l’émotionnalité et le drama. Elle pourra alors éclairer simplement les chemins à suivre vers la liberté, une liberté propre à chacun.

Personne ne peut imposer aux autres sa manière de voir. Forcer une personne à sortir de l’hypnose la plongerait juste dans un nouvel état hypnotique. La seule manière d’aider ses proches à retrouver leur pleine liberté est de leur montrer le chemin vers la totale responsabilité de sa vie.

Se libérer soi-même de l’hypnose

Avant toute chose, les AIP doivent se libérer elles-mêmes de l’hypnose.

En effet, il n’est pas possible d’accompagner les autres là où on n’est jamais allé. L’article précédent de cette série est un condensé d’exercices pratiques – ainsi que la plupart des exercices présentés sur SoU – pour vous sortir de l’hypnose générale permettent de retrouver sa souveraineté intérieure et divine.

Il est aussi avantageux de suivre l’accompagnement d’une personne sortie de cet état afin qu’il vous guide un moment. Il faut juste être attentif de ne pas passer d’un état d’hypnose à un autre, proposé par un soi-disant maître. Un vrai guide ne vous imposera jamais sa vérité, il vous aidera simplement à trouver la vôtre.

Une fois en bonne voie pour retrouver notre liberté (nous pouvons toujours retomber de temps en temps dans l’hypnose surtout lorsque nous sommes stressés ou fatigués), nous pouvons montrer à d’autres comment nous avons fait, le chemin, les difficultés et les raccourcis rencontrés. Il pourra alors suivre notre exemple pour trouver sa voie en évitant de tomber dans les mêmes écueils.

Ce qu’il ne faut surtout pas faire

Commençons par discuter de ce qu’il vaut mieux éviter si l’on souhaite aider nos proches ou nos clients dans cette transition.

Lutter, juger et critiquer

Plus on combat quelque chose, plus il se renforce. C’est une règle universelle. Si on n’arrête pas de critiquer l’autre, comment penser qu’il va accepter de nous écouter ?

La meilleure manière de renforcer un égrégore est de lutter contre lui. Comme une pièce, il reçoit de l’énergie autant de ses adorateurs que de ses ennemis, les deux faces étant ainsi nourri. En restant neutre, on ne donne pas de force au égrégores ou aux autres.

Il est donc primordial de casser le schéma mental nous entraînant dans le drama faisant que nous critiquons et jugeons le autres et soi-même. Ce qui, plus nous le faisons, plus nous restreint dans nos libertés.

Ne plus passer par le jugement ou la critique pour appréhender une situation et devenir l’observateur conscient hors de l’attachement est un travail exigeant mais ô combien libérateur. Cela ne veut d’ailleurs pas dire qu’il ne soit pas important de conserver sa position. Il est juste important de le faire par rapport à ce qui est juste pour nous et non pas ce qui est juste pour la société. Il s’agit également de le faire sans sur-émotionnalité et sans vouloir changer l’autre, juste placer clairement ses limites et rester avec soi, sans imposer aux autres sa vérité ni laisser la vérité des autres se sur-imposer à la nôtre.

Tomber dans le drama

Le drama, le fait de mettre de la sur-émotionnalité dans tout ce qui se passe autour de nous et en nous, est un état devenu presque normal dans notre société. Certaines personnes y sont en permanence et d’autres y entrent au moindre déclencheur.

Normalement, le fait d’être sorti de l’hypnose de notre mental devrait nous préserver du drama. Cependant, il y en a tellement dans la société, les médias, les réseaux sociaux, etc. qu’il est difficile de ne pas retomber dans cette sur-émotionnalité ambiante et constante.

Si nous abordons quelqu’un en étant dans le drama, nous provoquerons presque immédiatement une réaction émotionnelle, soit en opposition, soit dans notre sens. Les deux états plongeront davantage la personne dans l’hypnose de leur mental et des égrégores.

Essayer de transformer le monde

Nous ne sommes pas sur Terre pour transformer les autres et le monde. Nous sommes là pour nous transformer nous-mêmes ce qui transformera notre entourage. Pas l’inverse.

Plus nous essayons de transformer le monde, plus nous créons de résistance. Et, à la fin, nous pourrons même finir par rentrer à notre tour dans le jeu de l’hypnose, y compris nous y replonger.

Notre mental, les égrégores et la société essaient en permanence de nous dire le contraire, que nous devons changer le monde afin qu’il réponde à notre vision. C’est ainsi qu’ils parviennent à nous garder dans l’hypnotise générale car comment changer l’extérieur ? En le contrôlant mentalement ? A-t-on déjà vu un dictateur y arriver ? Non ! Ce qui change le monde extérieur, c’est le regard, le point de vue, que nous avons sur lui. En changeant notre état interne, celui-ci influencera les énergies externes. Notre monde interne se modifiant, le monde externe changera.

Ceux qui essaient de transformer le monde nourrissent les mêmes forces que ceux qui veulent le maintenir dans un statuquo.

Penser que la fin justifie les moyens

En réalité c’est l’inverse. Se concentrer sur la fin nous force à attendre un résultat et met notre énergie dans le futur là où elle n’a aucun pouvoir. Nous finissons souvent par être déçus, nos attentes n’étant que peu assouvis par le résultat.

Mettre en lumière ce qui compte vraiment pour nous, au-delà d’un résultat ou d’une attente, est une étape importante : que souhaitons-nous réellement vivre dans cette situation ?

Dans l’hypnose générale, notre attention est placée sur l’attente des objectifs et des résultats. Nous sommes bombardés de prévisions, de succès à atteindre, de croissance… Mais tout cela sert à nous divertir du seul moment où nous avons tout pouvoir : ici et maintenant.

Il est important de vivre en accord avec soi-même et ses valeurs ici et maintenant. Chaque action que nous entreprenons doit répondre à ce que nous voulons vivre maintenant et pas dans le futur. C’est aussi le cas pour accompagner les autres, cela doit de faire dans le respect à chaque instant, le respect de leur avancée et de leur chemin.

Vouloir protéger les autres

Même si cela semble une bonne chose, chercher à protéger l’autre porte la même énergie que de les contrôler. Nous pouvons montrer à l’autre les dangers que présente un comportement ou une habitude selon nos propres valeurs, mais, à aucun moment, nous ne devons protéger l’autre contre sa volonté ou le forcer à accepter notre réalité. C’est du contrôle et n’amènera rien de bon, ni dans notre vie ni dans celle de l’autre, quoiqu’en dise le mental.

En essayant de protéger l’autre, nous risquons de prendre le rôle de sauveur dans le triangle de Karpman et ainsi perdre toutes possibilités de réellement aider les autres. Nous risquons également de retomber dans l’hypnose générale.

Faire comme si…

Il est difficile de rester hors de l’hypnose. Notre mental, les égrégores et l’ensemble de la société vont agir pour nous faire retomber dans l’hypnose générale quotidiennement.

A la façon de Matrix et de Cypher, il peut sembler ainsi plus facile de faire comme si nous étions toujours esclaves de notre mental. De cette manière, nous pensons éviter les conflits qui risqueraient d’éclater. Cependant, en rentrant de cette manière dans le moule, nous nous empêchons de vivre la vie que nous désirons et de devenir une source d’inspiration pour les autres.

C’est certainement plus confortable et moins risqué, mais cela nous empêche de montrer aux autres un chemin différent. Il faut déterminer comment on préfère vivre, car tout est toujours une question de choix.

Se croire supérieur

Quand on est une AIP et que l’on a réussi à sortir de l’hypnose imposée par notre mental et les égrégores, il est très facile de tomber sous l’emprise de notre ego spirituel. La joie naturelle d’être arrivé à un nouveau stade de notre développement peut souvent se transformer en fierté. Si c’est le cas, nous risquons simplement de tomber dans l’hypnose spirituelle, généré par le mental, l’ego et l’émotionnel spirituels.

Cela pose plusieurs problèmes importants :

• Nous devenons à nouveau sensible à l’influence des égrégores (principalement les égrégores spirituels), nous risquons donc de retomber rapidement dans l’hypnose
• En nous considérant comme supérieur aux autres (nous avons réussi à faire ce qu’ils n’arrivent pas à faire !), nous nous détachons des personnes que nous souhaiterions accompagner. Il nous devient donc difficile de les aider. Ce serait comme si un mathématicien qui se croit génial devait expliquer un théorème à un élève qu’il pense nul : il n’y parviendra jamais.
• Nous avons également plus de risque d’imposer à l’autre notre manière de voir notre chemin au lieu de le laisser faire ses expériences. On risque alors de le bloquer dans son évolution plutôt que de l’accompagner.

Beaucoup de maîtres spirituels tombent dans ce piège lors de leur évolution. C’est dans ces instants qu’on peut voir que leurs comportements ne sont pas aussi équilibrés que leurs enseignements voudraient le faire croire. C’est normal, quelque soit notre niveau d’évolution spirituelle, nous restons tous des humains. L’important, c’est de se rendre compte de cette emprise croissante de l’ego spirituel et d’en sortir.

Est-ce que sortir de l’hypnose collective me permet d’être plus heureux et équilibré ? Bien évidemment. Est-ce que ça fait de moi quelqu’un de meilleur ? Non. Cela ne change rien à ce que je suis.

Accompagner les autres

Comme nous l’avons vu, nous ne pouvons pas forcer les autres à nous suivre dans une vie libre, surtout que cette définition nous correspond à nous. Et la définition même de liberté implique qu’elle ne peut pas être forcée. Nous pouvons seulement éclairer et accompagner les autres sur leurs chemins grâce à notre présence.

Voici quelques éléments importants à mettre en place afin d’accompagner les autres au mieux de nos et surtout de leurs capacités.

Démontrer par l’exemple

En vivant libre, en démontrant une manière d’être libre, nous offrons aux autres un choix : s’engager sur le même chemin ou conserver le leur. En restant nous même quelque soient les circonstances extérieures, on peut apprendre aux autres à faire de même et à se réveiller de leur trance.

Cela demande d’être le plus aligné possible avec soi-même et ses valeurs, sans se laisser influencer par les forces extérieures. Celui qui est simplement lui-même est un exemple pour le monde.

Il s’agit certainement de la manière la plus directe et la plus simple d’accompagner ses proches. Parfois, il faut du temps pour que leurs résistances descendent, mais en restant droit et aligné, nous pouvons toucher même les personnes les plus hypnotisées. C’est fréquent de voir dans une famille un membre être presque exclu car il est trop bizarre, mais qui sert ensuite de balise aux autres pour leur évolution.

Montrer les différents chemins possibles

Il n’existe pas un seul chemin pour sortir de l’emprise du mental. Chacun a sa propre approche qui lui convient le mieux. Pour aider les autres, nous pouvons éclairer les différents chemins et pas les imposer. Même si nous parvenons à inspirer les autres grâce à notre exemple, le but n’est pas de leur imposer de suivre notre chemin. Il a peut-être été le meilleur pour nous, mais nous ne sommes pas l’autre ni eux nous.

Certains maîtres veulent pousser leurs élèves à les suivre comme des automates, mais cela ne fait que les plonger encore plus dans l’hypnose. Un véritable gourou est quelqu’un qui éclaire les chemins, pas une personne qui veut imposer une manière de penser.

Pour aider nos proches, il est important d’être présent pour l’autre tout en continuant à se développer. Plus on aura parcouru de chemin, plus on pourra leur en présenter avec les avantages et les pièges de chacun. Ils pourront ainsi décider par eux-mêmes celui ou ceux qui leur conviennent.

C’est la raison pour laquelle la plupart des maîtres réalisés continuent de se développer et d’apprendre. Ils n’en ont pas besoin pour eux-mêmes, mais pour montrer aux autres les possibilités qui s’offrent à eux.

Vivre dans la vraie compassion

Beaucoup de personnes parlent de compassion sans en avoir la même définition. Pour beaucoup, la compassion consiste à plonger dans le drama avec la personne concernée alors que, souvent, nous n’avons rien à faire de ses problèmes, on est juste attiré par la nourriture émotionnelle.

La vraie compassion peut s’exprimer différemment d’une personne à l’autre. Cependant, il est important qu’elle comporte les éléments suivants :

• Un amour inconditionnel pour les autres et la vie. Soumettre notre amour pour l’autre à des conditions (je l’aime lorsqu’il fait ce que je veux, je ne l’aime plus parce qu’il est trop… ou pas assez…) va à l’inverse de la compassion. On peut avoir de l’amour et de la compassion pour une personne sans supporter de passer un moment avec, cela n’a rien à voir, au contraire, se forcer à aimer passer du temps avec elle n’est compatissant ni envers nous-mêmes, ni envers l’autre.
• Ne pas entrer dans l’émotionnel avec l’autre (ma pauvre, le salaud, c’est horrible). Ce que beaucoup appellent de l’empathie est en fait de la sympathie : nous faisons nôtre l’émotion de l’autre, l’empêchant même parfois de vivre sa propre émotion (une personne a été agressée, on réagit par la colère et à la fin la personne blessée est celle qui nous aide à nous calmer).
• Voir l’autre comme un être divin qui vit une période difficile, mais qui a les capacités de s’en sortir. La pitié est l’inverse de la compassion, car ça maintien l’autre dans un état intérieur et de dépendance.
• Être dans la compassion c’est accepter que l’autre prenne un autre chemin, se trompe, soit mal, sans essayer de le sauver, juste en l’accompagnant avec le sourire, la joie et l’amour
• Travailler avec la gratitude. Être dans un état de conscience dans la gratitude pour ce qu’on a est un moyen efficace pour vibrer de plus en plus en accord avec ce qu’on veut vivre vraiment

Vibrer de sa plus haute vibration

Nous sommes tous reliés. Nos énergies influencent celles des autres qui influencent les nôtres en permanence partout dans le monde. C’est ainsi que nous pouvons nous sentir plomber après avoir passé du temps avec des personnes de basse vibration. À l’inverse, nous pouvons augmenter les vibrations des autres.

Pour se protéger des vibrations basses et augmenter au maximum celles des personnes qui nous entourent, il est important de vibrer le plus clair et le plus haut possible. Pour cela, il y a plusieurs éléments à mettre en place.

Augmenter sa vibration

• Méditer régulièrement, si possible tous les jours
• Faire le maximum de choses en étant en pleine conscience (par exemple manger, faire la vaisselle, lire, prendre sa douche) au lieu de laisser son esprit vagabonder
• Faire des rituels quotidiens de nettoyage (douche de lumière, nettoyage des chakras, etc.)
• Plonger le plus souvent possible dans l’amour, la joie et la grâce (par exemple avec la flamme du coeur)
• Se connecter le plus souvent possible à sa guidance ou à son être supérieur
• Manger des aliments riches en prana
• Faire régulièrement des exercices spécifiques pour monter ses vibrations
• Favoriser les expériences et le chemin à l’objectif

Éviter ce qui baisse sa vibration

• Entrer et rester dans le drama
• Manger des aliments riches en toxines ou très transformés
• Se laisser envahir par des émotions lourde s comme la colère, la peur ou la culpabilité
• Faire ce qui ne nous convient pas juste parce qu’il faut le faire
• Donner de l’importance aux résultats

Rester et entretenir une haute vibration permet de contaminer son entourage et le monde et l’aider à sortir de l’hypnose.

Ne pas se laisser reprendre par l’hypnose

Le monde possède une inertie importante. Tous les changements demandent une énorme quantité d’énergie avant de montrer des résultats. On pourrait s’en plaindre, mais cela est plutôt bien. Imaginez que tous les changements que l’on désire soit immédiatement matérialisés, la vie serait impossible !

Selon les connaissances actuelles en physique quantique, l’univers se recréé en permanence. Ce qui fait que rien ne change est le fait que la nature déteste les changements drastiques. Tout se recréé du coup presque comme à l’instant d’avant.

Bien qu’avantageuse, cette inertie rend le travail d’évolution plus difficile. Souvent, quand nous voulons changer, nous avons l’impression que l’univers met tout en place pour que nous retombions dans nos schémas du passé. En réalité, il n’essaie pas de nous retenir en arrière et ne veut pas notre malheur. Avant de répondre à une demande que nous ne voulons pas vraiment ou qui n’est pas clair, il cherche juste à ce que nous soyons alignés avec ce que nous voulons vraiment en testant notre détermination et notre véritable envie de changer .

Plus nous demeurons hors de l’hypnose, moins nous risquerons d’y retomber. Même les égrégores nous laisserons tranquilles, sachant qu’ils ne peuvent plus nous influencer.

Juste être soi en Conscience

Finalement, tous ces conseils peuvent se résumer au fait d’être soi, hors de l’hypnose, droit dans ses bottes, mais sans (se) forcer ou se battre contre le monde.

Et avant tout rester au maximum dans la Conscience, sans se faire prendre par le flot de pensées incessant du mental ou l’émotionnalité générale. Juste être soi en Conscience, voilà le seul chemin qui existe vraiment, le plus simple et à la fois le plus escarpé.

Celui qui parcourt le maximum du temps cette voie permettra aux autres de voir la lumière afin de sortir de l’hypnose s’ils le désirent et y sont prêts, chacun en son temps.

Ne pas se mettre de pression

Dans ce domaine, plus nous voulons obtenir un résultat, plus nous retombons dans l’hypnose et les jugements de notre mental. Il est donc primordial de ne pas se mettre de pression ou d’essayer à tout prix de déterminer où nous en sommes du chemin. Se concentrer sur chaque pas, en Conscience, voici la seule tâche à accomplir de notre Dharma.

Si vous sentez le besoin d’être accompagné un moment sur ce chemin, contactez-nous, nous serons heureux de vous répondre au mieux de nos capacités.

Amicalement vôtre,

Wanderer & Bhân